„Au cœur de ce qui rassemble et éloigne, de ce qui encourage et questionne notre engagement face à un présent vaste et complexe, quel geste réel faut-il brandir ? Quel geste symbolique faut-il inventer pour regarder le réel en face ? Comment nommer cette acuité – l’épaisseur – du réel dans ces temps de crise et de cris dominés par la peur et la protection ? Comment préserver ces endroits où les langages, les visions et les idées se partagent et nous permettent d’approcher une connaissance de soi, des autres en soi ?“